Qu’attend-on de la photographie, de la peinture, du dessin, de la poésie ou de la littérature, autant de procédés “artificiels”?
Peut-on affirmer qu’ils nous sont réellement nécessaires?
Je crois que oui.
Je crois qu’ils nous assistent, ils nous protègent et que finalement, ils nous servent. Comme des outils, ils nous façonnent.
J’ai choisi ici, pour cette simple et silencieuse chapelle romane et ses mille ans, de présenter quelques bribes légères d’histoires, de souvenirs et d’émotions, qui tiendraient à la fois de la stabilité de la terre et de volubilité de l’air

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