Pour cette troisième carte blanche, Jeanne Susplugas invite Diane Watteau à s’installer au milieu de son exposition AT HOME SHE’S A TOURIST.

Habiter son nom ou être habité par son nom, voilà le problème — aporétique —, qui va être au cœur de cette conférence performative que Diane Watteau propose en compagnie d’Éric Vigner le 30 mai prochain.

Je n’ai jamais su signer Watteau. Plus encore, on me corrigeait sur mon patronyme trop célèbre : on ne dit pas OUATO, non ! pas avec ce gras du Nord, mais VATO.
“Mon nom m’importune délicieusement, douloureusement, comme un totem.”

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