L'amour est un chien de l'enfer

L’amour est un chien de l’enfer

Contacter l'organisateur

Des dessins éthérés, des photos de famille déchirées, des collants tagués avec rage, des personnages sans visage étouffant dans un univers de cloches, des radios des poumons, des éclats de miroir, des citations de Marx et de Malevitch, un lapin faisant sa toilette, une femme qui écarte les cuisses… Max Jacob, dans L’art poétique , l’écrivait : « C’est au moment où l’on triche pour le beau que l’on est artiste. » Si l’amour est bel et bien au centre de cette exposition, c’est souvent par des chemins détournés, par le judas de la porte d’un hôtel délabré.

Tour tour chien de l’enfer, chien de faïence, chien dans un jeu de quilles, l’amour se dénude ici, se montre sous son meilleur jour et sous ses plus tristes nuits.

Figure tutélaire de l’exposition, Charles Bukowski est aussi de la partie. Il aurait probablement détesté tout ça, mais quelle importance ? S’il y a une chose que la lecture de ses œuvres nous a appris, c’est qu’il est salutaire de créer, envers et contre tout.

« Find what you love and let it kill you. » (Charles Bukowski)

Identifiez-vous Créez un compte

Vos informations ne seront pas vendues. Notre politique de confidentialité.

 

×
Créez un compte Vous avez déjà un compte ?

 
×
Vous avez oublié mot de passe et/ou identifiant ?
×

Go up