"From Bleue Water to Red Fire"

“From Bleue Water to Red Fire”

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« From Bleue water to the Red Fire» Cidalia Alves nous fait découvrir son travail à travers 2 séries, du bleu des étangs au rouge feu des routes Berrichonnes en hivers son Pays d’adoption. Une exposition consacrée à son regard sur ce pays rude mais ne manquent ni de chaleur ni de poésie, des routes sans fin ou on aperçoit les arbres dévêtues par la saison hivernal et des étangs figés par le givre mais ou on devine une certaine poésie en délicatesse, une première pour la Galerie 34 Bonaparte qui n’a jusqu’à ce jour jamais exposer de photos.
Exposition du 19 Février au 25 Février 2018
Du Lundi au Samedi de 11h à 19h et sur rendez-vous
Vernissage jeudi 22 Février de 18h à 21h

A propos de l’expo

La surprise laisse place à la perplexité, comment l’artiste travaille t’elle pour donner une telle illusion, comment frôle
t elle d’aussi prés cette frontière entre la photographie et la peinture ? Regardez bien au fond de cette Etang, laissez vous guider sur cette route rude et magnifique d’hiver, tendez votre oreille aux sons présents. Imaginez vous là bas ………..

A propos de l’Artiste

Cidalia Alves a une obsession depuis toujours, le temps, le temps qui passe, la déchirure les séparations, ce coté nostalgique peut être de la Saudade et c’est peut être dans ces racines qu’elle puise la nécessité de son empreinte du temps. Son travail aujourd’hui nait de deux pratiques ; la photographie traditionnelle et puis le mariage avec sa passion pour le bricolage en tout genre, dira-t- elle, les assemblages dirons nous.
Elle nous dira que la plupart du temps ses clichés découlent d’un moment court, d’un espace confiné, c’est le cas pour le côté eau de l’Etang elle se déplace autour de la lumière des ombres, avec un mouvement lent mais suivi, elle laisse apparaitre les tons ainsi que la charte de couleurs qu’elle aurait choisis dans une palette, un instant magique où les couleurs du spectre transpercent ses yeux et clic … mais dans sa série de la nuit c’est tout le contraire plutôt la recherche de l’immobilité, après arrive son travail de plasticienne, comme un peintre sur la matière avec de la texture un peu, juste un peu, le temps de profiter un peu de cette image et de la sentir en vie sous ses doigts …

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