Xavier FROISSART

Peintre, créateur, plasticien né à Neuilly-sur-Seine.
Site web : www.xavierfroissart.com

Diplômé de l'ECOLE NATIONALE SUPERIEURE DES ARTS DECORATIFS, section peinture et art mural, Paris 1975.
Médaille d'Or de la SOCIETE DES ARTISTES FRANCAIS , Paris 1976.
Expose depuis 1973. Nombreuses oeuvres dans des collections privées.
Une oeuvre acquise par l'Etat pour le FONDS NATIONAL D'ART CONTEMPORAIN, Paris 1980.

Peintre et dessinateur, il aborde aussi le volume et la sculpture dans les années 1980 et 90, dans le cadre d'une collaboration avec la Cristallerie DAUM et d'autres manufactures renommées avec lesquelles il crée de nombreuses pièces en cristal et pâte de verre.

De la peinture au volume, plusieurs périodes jalonnent son parcours artistique et montrent un travail en constante évolution :

- ARLEQUINS ET REFLETS, 1972-1978, peintures, dessins, lithographies : losanges d'arlequins et reflets d'eau imaginaires se mêlent en une série de variations cinétiques.
- VOITURES, 1978-1994, peintures et objets-sculptures en cristal : des études de reflets sur des carrosseries imaginaires se prolongent sous forme de voitures en cristal réalisées en collaboration avec la Cristallerie DAUM.
- CRISTAL ET TRANSPARENCE, 1984-2000 : collaboration avec la Cristallerie DAUM, les Cristalleries ROYALES DE CHAMPAGNE et les Cristalleries de SAINT-LOUIS pour la création d'objets-sculptures en cristal et pâte de verre.
- TACHISME ET TERRE CUITE, 2001-2008 : des recherches picturales abstraites se prolongent sur des volumes en terre cuite vernissée réalisés chez des potiers de Bourgogne.
- MONDES IMAGINAIRES, 2002-2020, peintures et dessins (période actuelle) : travaille sur le mythe de Babel et les visions de civilisations disparues.
Autour d'architectures inachevées, de bâtiments déstructurés ou abandonnés, il nous laisse entrevoir des mondes en mutation oubliés.
Son travail se développe comme une série de variations autour des notions de construit et de déconstruit, d'équilibre et de déséquilibre, de fini et de non fini, en y associant la puissance primitive de la couleur rouge.